"e;Il n'y a plus personne, au village, avec qui parler du passe. Je m'ens uis apercu brutalement quand, a l'heure ou le soleil sombre entre ciel et colline, j'ai traverse la Piazza del Popolo. personne! Juste quelques chats affames le long des murs de pierre encore chauds. C'est etrange. Ma vie ici n'est qu'une longue suite de mois d'aout."e;